Le 25 avril 2015, le sol tremblait au Népal, détruisant de nombreuses habitations, emportant des milliers de vies et marquant l’histoire par sa violence.
Trois mois après le drame, nous atterrissions à Katmandou capitale du pays, ouvrant les yeux face au drame, loin des bilans dressés par les journaux et les médias.
Les fissures sont larges sur les monuments historiques, par endroits les murs tiennent grâce à la force du bois qui les soutient, mais la vie a repris son cours pour la plupart des habitants, les sourires sont présents, et brique par brique les murs se montent.
Le stade de foot rempli de plus de 400 tentes pour réfugiés au lendemain de la catastrophe, n’en compte plus qu’une dizaine, la tête relevée le Népal continue de briller.
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Au lendemain du séisme la croix rouge Chinoise à mis à disposition des tentes temporaires pour les plus démunis, installés à même les décombres de leur anciennes habitations.
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Des bâtiments comme celui-ci vieux de plusieurs centaines d'années sont aujourd'hui au bord de l'éffondrement, l'armée s'active à sécurisé les zones et évacuer les décombres.
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Au dessus d'un tas de brique, seul les marques sur le mûr témoignent de l'emplacement de cette maison.
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Loin d'esperer une aide de l'Etat, les Népalais, hommes, femmes et enfants, s'activent ensemble à la reconstruction de leur habitations, brique par brique, récupérant tout ce qui peut l'être.
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Les bâtiments les plus touchés seront détruit, pour ce qui peut être sauvé, les briques seront réutilisés.
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Au lendemain de la catastrophe, la croix rouge Chinoise installait plus de 400 tentes sur le stade de football de Kathmandu, 3 mois après certains attendent encore d'être relogés.
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Pour certain la page se tourne, les tentes se démonte et la vie pourra reprendre son cours.