Calcutta, ancienne capitale indienne, troisième plus grande ville du pays, marquée d’histoire, d’épidémies, de famines et d’exodes massifs.
Lieu de résidence et de mort de mère Teresa et théâtre de ses actions face à la misère, « Calcutta ne cache ni n’épargne rien, elle est de loin l’Inde, la vraie, plus que n’importe quelle autre ville ».
Là où même la richesse se fond dans le décor, où les hommes remplacent encore les chevaux en guise de taxi, et où les lits s’installent dans les rues le soir.
Une activité constante, un mouvement interminable, un flux de vie et d’énergie, où la misère côtoie l’espoir sur les trottoirs, où le communisme combat le capitalisme, et où la joie cherche une place parmi la pauvreté.
« Anyway, Calcutta is the city of Joy, so enjoy”
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Voici les Dabba-packers, ils ont pour difficile mission de charger et décharger la marchandise transportée dans les trains. Au premier plan nos motos encore recouverte de leurs protections a leurs arrivée a la gare centrale de Calcutta. La réglementation des trains indiens exigent de vider complètement le réservoir d'essence des motos, il nous aura fallut pousser jusqu’à la station essence a un kilomètre de la gare pour pouvoir repartir.
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Les rues pittoresques de Calcutta.
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Les sueurs du travail, sur un front trop jeune.
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Tika noir sur le front, ou maquillages sur les yeux, les mauvais esprits restent à l'écart.
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Regard interrogateur
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Un regard bleu azur, un sourire non forcé, et pourtant si peu à manger.
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Ce jeune garçon que l'on a rencontré aux abords d'un temple hindouiste récupérait les pièces de monnaie dans le lit de la rivière grâce a un aimant accroché au bout d'une corde.
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Shaving time !
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Pensif ou épuisé ? Producteur d'huile de la vieille ville.
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Vivant dans la rue avec sa soeur et ses parents, nous avons aidé son père en lui donnant une ''shoeshine box'' lui permettant de cirer les chaussures dans la rue et de tirer un salaire.