Partie 1: On retape les bécanes avant de prendre la route.

Apres avoir claqué respectivement 28000rps (400€) et 30000rps (427,5 €), Lolo et John récupèrent leurs joujoux dans des conditions indiennes, mal entretenues, sales et endormies.

C’est alors qu’on sort les outils, les chiffons, les bombes de peintures et les nuits courtes et qu’on s’attaque à la rénovation des motos.

Quelques jours d’efforts et voilà le résultat final. Prêtes à être réveillées, espérons que cela tienne, les routes indiennes sont rudes…


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Partie 2: En route pour Bangalore (Bengaluru).

Après 324 km, dont 70kms de cauchemar, nids de poule, cailloux, chauffards, engins en tout genre, traversant bananeraies, rizières, et montagnes, nous rejoignons enfin Bangalore.

Passant des petites deux voies aux autoroutes indiennes, avant de se jeter dans le flot de la circulation d’une ville de près de 9 millions d’habitants. La « Silicone Valley » du pays garde tous les aspects d’une ville Indienne, contrastant modernité et richesse avec traditions et débrouille.

 

 


 

 

 

 

 


 

Partie 3: Un ride pour Hampi, cité perdu au milieu du désert.

Après être sortis des quartiers et des villages alentours de Bangalore, nous voilà perdus en plein désert, sur la NH7 direction le nord, avant de tourner à gauche pour Hampi.

Premiers problèmes mécaniques, premières soudures qui pètent pour PY02 et une amorce de serrage pour PY01. Malgré les nouvelles peintures, les caisses toutes neuves à l’arrière et notre look de motards, la vieillesse des motos se fait sentir.

Découverte des roadhouses indiennes (sorte de petits établissements perdus au bord des autoroutes), premières nuits dans les motels indiens, découverte de l’hospitalité rurale fidèle à sa réputation.

Nous arrivons dans les ruines d’Hampi, seuls témoignages de la puissance passée du royaume de Vijayanâgara comptant à l’époque environ 500 000 habitants et réduit aujourd’hui a une station touristique d’à peine 10 000 habitants.

 


 

 

 

 

 

L.J (riding india)