Le 25 avril 2015, le sol tremblait au Népal, détruisant de nombreuses habitations, emportant des milliers de vies et marquant l’histoire par sa violence.

Trois mois après le drame, nous atterrissions à Katmandou capitale du pays, ouvrant les yeux face au drame, loin des bilans dressés par les journaux et les médias.

Les fissures sont larges sur les monuments historiques, par endroits les murs tiennent grâce à la force du bois qui les soutient, mais la vie a repris son cours pour la plupart des habitants, les sourires sont présents, et brique par brique les murs se montent.

Le stade de foot rempli de plus de 400 tentes pour réfugiés au lendemain de la catastrophe, n’en compte plus qu’une dizaine, la tête relevée le Népal continue de briller.