Il est difficile de dire que l’on prend une photographie, c’est l’endroit, la scène ou la rencontre qui crée le fragment figé de l’instantané.

La photographie prend naissance dans les émotions, les regards, et les instants qui rythment la vie de tous les jours.

Au cœur de la rue et au plus près des Hommes, nous immortalisons la beauté du vivant.?»

 

Loïc Terrier, 28 ans. Devenu photographe et réalisateur après plusieurs voyages en Asie du Sud-est et Océanie. Il se passionne pour la photographie vivante de ‘’rue’’, sur le vif, pour capturer  l’instant fugace du temps présent.  

 

Il aime sillonner les villages reculés du Sud-est asiatique et aime particulièrement les rencontres improbables, dans les lieux isolés des campagnes d’ici et d’ailleurs, ou l’on prend le temps.

 

Il aime la moto comme moyen de locomotion tout particulièrement, mais son côté écolo lui lance un appel à la bicyclette pour de prochains périples.. 

 

Son passe-temps favori reste le jardinage, et tous les sujets qui tournent autour de l’autonomie, la permaculture.

 

 

 

Jonathan Lux, 28 ans, devenu photographe et réalisateur depuis que la nature et les peuples du monde lui ont envoyés leurs plus beau clins d’oeil. Plus qu’un simple instant, il souhaite capturer la vie de tous les jours et la sincérité des regards qui’il croise à travers sa photographie.

Il aime parcourir avec intuition les minuscules routes qui mènent aux rencontres. Après de multiples voyages au fin fond de l’Asie du sud-est et de l’Océanie, son long périple à moto en Inde, en 2015, marque un tournant important dans sa vision de la vie.

Partisan de la simplicité, lorsqu’il ne se cache pas derrière l’objectif de son appareil ou dans sa tente autour d’un feu de bois, on le retrouve bien souvent les pieds dans le potager à faire pousser de quoi se régaler.